Au-delà des perspectives scientifiques, qui ouvrent des questions autour de l’analyse de la qualité des données, mais également sur la production d’indicateurs ou de nouveaux supports de restitution des résultats, les chercheurs ont été guidés par la volonté d’ouvrir la recherche sur l’environnement sonore au plus grand nombre (citoyens, entreprises, collectivités, services de l’État, scientifiques…).
Cette ouverture se traduit par un projet « open science » avec le développement d’outils communs sous licence open source, la diffusion des données anonymes collectées sous licence open data et la publication des résultats de recherche dans des revues en open access.